Roger Godchaux (1878-1958) "Lionne aux aguets" Bro
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Estimate: €3,000 / €4,000
Roger Godchaux (1878-1958) "Lionne aux aguets" Bronze à patine brune. Signé «Roger Godchaux».Porte l’insert circulaire et la marque du fondeur « Susse Fres Edts Paris ». Porte la mention « cire perdue ». H. 20,3 cm. (Légères usures) Littérature en rapport : Jean Dunand, Xavier Eeckhout,Sophie Fourny-Dargère, Roger Godchaux : L’œuvre complet, Dijon, édition Faton, 2021, modèle répertorié sous le no F26, p. 90. Roger Godchaux est l’élève de Jules Adler puis de Jean-Léon Gérôme. En 1925, le Jury de l’Exposition des Arts Décoratifs et Industriels Modernes lui décerne la médaille d’argent. Lorsqu’il meurt en 1958 à l’âge de 80 ans, ce maître de la sculpture animalière avait passé plus de cinquante années de sa vie à représenter l’animal dans toutes les attitudes observéesau quotidien.
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École française de la fin du XIXe siècle d'après A
800 / 1 000 €École française de la fin du XIXe siècle d'après Antonio Canova (1757-1822) "Hercule et Lichas" Bronze à patine brun vert. Porte une signature « Canova Fct ». H. 42,5 cm. Repose sur une base en marbre noir de Belgique : H. 6,5 cm. (Légères usures). Œuvre en rapport : Antonio Canova,Hercule et Lichas, 1795-1815, marbre, H. 335 cm, Rome, Galleria Nazionale d'Arte Moderna.Littérature en rapport : Giuseppe Pavanello, Mario Praz, L'opera completa del Canova, Milan Rizzoli, 1981, modèle répertorié sous le no 131, pp. 106-107. Cette réduction en bronze reprend le célèbremarbre monumental Hercule et Lichas commandé en 1795 par Don Onorato Gaetani des princesd'Aragon au maître de Possagno, Antonio Canova. Suite aux évènements politiques napolitains aprèsl'arrivée des troupes françaises : l'œuvre en plâtre reste inachevée dans l'atelier du sculpteur à Rome.L'œuvre est finalement sculptée dans sa version en marbre quinze ans plus tard, en 1800, c'est lebanquier Giovanni Torlania qui l'acquiert à la placedu commanditaire napolitain
Charles Octave Lévy (1820-1899) "Salomé" Bronze à
1 800 / 2 000 €Charles Octave Lévy (1820-1899) "Salomé" Bronze à patine brun clair et doré. Signé « A. Levy » sur la terrasse. Titré « SALOMÉ PAR LEVY » dans un cartouche sur le devant. H. 83,5 cm. (Légères usures)
Aimé-Jules Dalou (1838-1902) "Rebatteur de faux" B
1 000 / 1 500 €Aimé-Jules Dalou (1838-1902) "Rebatteur de faux" Bronze à patine brun nuancé. Signé «DALOU» sur la terrasse. Épreuve d'édition de Susse Frères portant l'insert « Susse Frères Éditeurs Paris » (contrat d'édition en bronze du 20 juin 1902, no 6 du catalogue Susse no 43). Porte la mention «cire perdue»et la lettre «W» sur la terrasse. H. 13,5 cm. Littérature en rapport : Amélie Simier, Jules Dalou, le sculpteur de la République. Catalogue des sculptures de Jules Dalou conservées au Petit Palais, Paris,Éditions Paris Musées, 2013, modèle en terre cuite répertorié sous le no cat. 227, p. 390-391.
Attribué à Claude Michel dit Clodion (1738-1814) "
6 000 / 8 000 €Attribué à Claude Michel dit Clodion (1738-1814) "Faune et Bacchante" Paire de petits bustes en terre cuite. Signés « Clodion » et datés «1787» au dos. H. 14 cm (faune). H. 13 cm (bacchante). (Petits éclats, faune : cornes et couronne de pampres de vigne bacchante : nez et couronne de roses).Œuvre en rapport : Paris, vente Christie's, 19-21 septembre 2011, lot 595 : buste en terre cuite représentant une jeune bacchante. Exposition au Palais Abbatial de Royaumont. Clodion s'est fait une spécialité de statuettes de petit format qu'il sculptait pour une clientèle d'amateurs. Ces sujets légers et aimables, souvent inspirés des légendes arcadiennes, étaient très appréciés des collectionneurs;Clodion en exécuta tout au long de sa carrière. Notre charmant petit buste de bacchante, drapée à l'antique et découvrant un sein, est un parfait exemple de cette production raffinée qui a orné les plus grands cabinets d'amateurs. Clodion en reçut des commandes dès son premier séjour italien (1762-1771) comme en atteste un buste identique signé et daté « CLODION IN ROMA 1768 ». Notre paire fonctionne en pendant. À l'air doux et ingénu de la jeune bacchante répond le regard amoureuxet la bouche savoureuse du satyre. Les deux visages sont exemplaires du style de Clodion. Celui de la bacchante reprend le traitement du visage féminin tout en rondeur avec des yeux en amande, une petite bouche et un nez long et fin. Le faune présente quant à lui des traits plus creusés et anguleux, participant d'une représentation plus expressive des intentions du faune qui contraste avec l'ingénuité de la bacchante.Soyez au courant des ventes qui vous intéressent !
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