Lot n°106
André Vincent BECQUEREL (1893 - 1981)Panthère marc
*Hors frais
Estimation : 1 800 / 2 000 €
Description
André Vincent BECQUEREL (1893 - 1981)Panthère marchantBronze à patine verte. Signé « A.BECQUEREL » sur la terrasse. Porte la mention « bronze » à l’arrière de la terrasse. Socle en marbre noir. H. 25,5 cm x L. 66 cm x l. 12 cm.
Lots de la même vente
Revenir à la vente
Lot n°107
Eugène MARIOTON (1854 - 1933)VainqueurBronze à pat
600 / 800 €Eugène MARIOTON (1854 - 1933)VainqueurBronze à patine brune Signé « Eug. Marioton » sur le socle Cachet du fondeur « Siot Decauville » à l'arrière sur la terrasse Titré « VAINQUEUR ». H. 70 cm.
Lot n°108
Gaston Veuvenot dit LEROUX (1854 - 1942)Jeune fill
1 200 / 1 500 €Gaston Veuvenot dit LEROUX (1854 - 1942)Jeune fille arabe dite RebeccaBronze à patine dorée. Signé « G.Leroux » sur le côté sur le rocher. Dans un cartouche sur le socle : « JEUNE FILLE ARABE / PAR G. LEROUX / 2e MEDAILLE AU SALON ». H. 83 cm. (Usures à la patine)
Lot n°109
Raoul LARCHE (1860 - 1912)Vingt ansBronze à patine
1 800 / 2 000 €Raoul LARCHE (1860 - 1912)Vingt ansBronze à patine brune. Signé « RAOUL LARCHE » sur le socle. Cachet fondeur « SIOT PARIS ». H. 90 cm. (Quelques oxydations) Littérature en rapport : Pierre Kjellberg, Les bronzes français du XIXème siècle. Dictionnaire des sculpteurs, Paris, Les éditions de l'Amateur, 1989, p. 409-414. La fonderie Siot-Decauville s'intéressa rapidement aux œuvres de Raoul Larche et en édita un certain nombre dont le Vainqueur qu'elle propose en plusieurs dimensions : 88 cm, 70 cm et 50 cm.
Lot n°110
René DE SAINT MARCEAUX (1845-1915)L'ArlequinBronze
1 500 / 2 000 €René DE SAINT MARCEAUX (1845-1915)L'ArlequinBronze à patine brune. Signé « S.MARCEAUX » et daté 1879 sur la terrasse.Cachet du fondeur Barbedienne.H. 85 cm.Littérature en rapport : Les dossiers du musée d'Orsay, Une famille d'artistes Les Saint-Marceaux, RMN, Paris, 1992René de Saint-Marceaux présente au Salon de 1883 un Arlequin en marbre qui achève de le rendre célèbre. La qualité d'exécution et le réalisme de ce morceau lui valent l'admiration des amateurs. Il en tire un exemplaire en bronze qu'il présente en 1889 à l'exposition universelle. Là encore le réalisme de l'œuvre est frappant dans le visage en passant par le traitement du vêtement jusqu'à la terrasse traitée en plancher de théâtre. L'engouement autour de l'œuvre à ces deux salons encourage les éditions du sujet. L'artiste fait don du plâtre original en 1901 au musée des Beaux-Arts de Reims (inv.880.19).Soyez au courant des ventes qui vous intéressent !
En quelques clics, vous pouvez créer une alerte selon des critères personnalisés pour être informé de nos ventes à venir ou de la mise en vente d'un type de lot précis.